Jean Dujardin (Cash, le beau gosse), Jean Reno (<3 le dandy à la carrure de boxeur et bon père de grande famille), François Berland (Le vieux débris roublard), Valéria Golino (sexy woman in red, avec les menottes, tention
) [Aurait-on trouvé la future remplaçante française de Monica Bellucci ?
], Alice Taglioni (La fiancée de Cash) et sans oublier un certain Clovis Cornillac, qui feu sera, rapidement. (J'aime ma tournure)
Dans tous les cas, c'est un véritable umbroglio, un grand film pour ceux qui aiment se torturer les méninges à deviner les intrigues! Là au moins, la fin nous laisse un peu sur les rotules, imprévisible.
Voici un autre résumé que celui d'allociné : C'est parce que son frère (Clovis Cornillac) a été tué durant une tentative d'arnarque par un certain Maxime (Jean Reno) que Cash (Jean Dujardin), gentleman arnaqueur, prend du service dans une affaire de faux billets. le but est de retrouver le commenditaire de ce crime histoire de lui régler son compte. Ce qu'il ne sait pas, c'est qu'il est recherché par un inspecteur de police zélé et peu regardante sur la morale (Valeria Golino). Ils vont, contre toutes attentes, s'associer afin de retrouver Maxime et lui régler donc son compte mais cette fois de manière collective.
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Le début du film ne laisse rien présager de bon: Tout ceci a l'air d'être une sorte de parodie de films d'espionnage pas intéressant et juste assez bon pour faire les joies des vieilles l'après-midi sur France 2 quand il y a une rupture de stock de Derrick. Et puis, c'est la bonne surprise, on commence à se dire que c'est rudement bien que, surprise, Clovis Cornillac disparaisse au bout de cinq minutes de film, même si on regrette que ça ne soit pas François Berléand qui est un peu trop présent à mon goût depuis quelques années au cinéma, à force il va nous faire frôler l'overdose mais bon... On apprécie aussi le formidable Jean Dujardin qui décidemment, avec une classe et une beauté incroyable, peut jouer n'importe quoi. On aime également le retour en force de Valeria Golino dans ce rôle d'inspecteur trouble qui lui va pas si mal. On s'énerve un peu bien sûr à cause des dialogues mauvais made in cinéma français qui nous sont infligés mais on oublie heureusement vite car il y a d'autres chats à fouetter. En effet, l'intrigue tarabiscotée et dense donne du fil à retordre et arrive à nous tenir en haleine jusqu'à un dénouement plutôt innatendu.
Berléand, Employé du siècle
Je me suis laissé prendre par ce polar dont la réalisation et le montage fleurent bon les années 70 au même titre que ce film-là. On pourrait reprocher très clairement au scénariste la présence totalement inutile dans l'histoire de certaines scènes un peu trop longues sur la vie sentimentale de Cash. Il est certain qu'elle rejaillit sur l'intrigue principale mais c'est inutile d'aller si loin. Il n'empêche que c'est un bon moment de cinéma et que c'est un bonheur de plonger dans cette machination.